La fondation d'une nation est la bonne foi !

« Notre Parti Est Un Parti Pour La Justice Sociale, Le Développement Et La Prospérité. Il Rassemble Toutes Les Guinéennes Et Tous Les Guinéens Qui Prônent l’unité Nationale Et La Paix. »

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Qui est

Moussa Sylla Président ?

Ne dans une famille modeste réputée pour son éducation et son instruction à togui-oulen dans siguiri, Moussa Sylla est titulaire d’une licence à l’université internationale collége (UNIC). Fils de ménagère du nom de Tènègbè Sacko originaire de siguiri et humble instructeur coranique nommé karamo Fode KABA sylla natif de Djoma togui-oulen dans siguiri, le très jeune Moussa se fait remarquer très rapidement dans la ville de siguiri de manden brè par son courage et son leadership qui lui ont valus ce qu’il est aujourd’hui .

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Nos préoccupations

LE BON LEADER AU BON MOMENT POUR LA BONNE RAISON

Notre parti aborde tous les problèmes de développement en Guinée et propose des solutions pour transformer les éléments négatifs en force motrice. . Le programme du parti se concentre sur la gouvernance, l’aménagement du système politique et économique, la valorisation de la culture, la sécurité humaine et la justice sociale et tant d’autres.

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Notre parti est engagé à défendre les droits et les intérêts de tous les citoyens, mais nous ne pouvons y arriver sans votre aide. Votre don, aussi petit soit-il, nous permettra de poursuivre notre travail et de faire avancer notre programme politique.Nous sommes convaincus que nos actions auront un impact positif sur notre société et nous espérons que vous nous rejoindrez dans cette lutte pour un avenir meilleur.

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à l'ecoute du peuple

Nous travaillons pour le peuple

Le PGP est fier de dire que « nous travaillons pour le peuple ». Nous croyons que chaque citoyen mérite d’être représenté avec honnêteté, transparence et intégrité. Nous sommes engagés à défendre les intérêts de tous les citoyens, sans distinction de race, de religion, de sexe ou de statut social.
Nous comprenons que les défis auxquels notre société est confrontée sont nombreux et complexes, mais nous sommes déterminés à travailler sans relâche pour trouver des solutions durables qui amélioreront la vie des gens.

issues

EXPÉRIMENTÉ, HONNÊTE et RÉUSSI

Moussa Sylla est un homme d’expérience, d’honnêteté et de réussite. Au cours de sa carrière politique, il a démontré une capacité exceptionnelle à comprendre les besoins et les préoccupations des citoyens. Il est profondément engagé à travailler pour le bien commun et à défendre les intérêts de tous les citoyens.

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Partisans

Ils soutiennent Moussa Sylla

Engagez-vous dans la campagne du président Moussa Sylla pour faire la différence en partageant sa vision avec votre communauté, en parlant de ses réalisations passées, de son engagement envers les intérêts de tous les citoyens et de sa capacité à rassembler les gens autour d'une vision commune pour un avenir meilleur.
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Les Sages

Rencontre avec les sages de...

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La jeunesse Guinéenne

Rencontre avec les jeunes de Cosa

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La Population guinéenne

Sortie Massive à Kankan

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PLAN SOCIO-EDUCATIF ET SANITAIRE

Le PARTI GUINEEN DU PEUPLE place l’homme au centre de ses préoccupations dans le cadre de l’égalité des chances, de la solidarité entre citoyens, de la justice sociale, en vue de réhabiliter la dignité de l’homme guinéen.

Famille, Femme, Enfant et Société

  • Garantir la protection et le développement de la famille par une éducation morale et intellectuelle basée sur des valeurs positives de la société notamment le respect des parents, le respect des biens communautaires, le respect de la loi et de lautorité établie ;
  • Amener l’Etat à organiser la vie sociale dans l’intérêt de tous et particulièrement dans celui des populations vulnérables, marginalisées ou victimes de discrimination ;
  • Protéger les valeurs familiales et renforcer les structures d’encadrement social de lenfant, de la jeunesse, de la femme, du vieillard et de la personne vivant avec handicap ;
  • Développer l’installation généralisée des équipements collectifs notamment ceux relatifs à l’adduction d’eau, à l’électricité, aux sports et aux loisirs, au téléphone et à la télévision dans les milieux ruraux 
  • Assurer le bien-être de la population par :la création des emplois et la sauvegarde du SMIG ;
  • la promotion d’une politique d’autosuffisance alimentaire ;
  • l’amélioration de l’habitat ;
  • la redistribution du revenu national.
  • Favoriser le pluralisme syndical et associatif ;
  • Instaurer un mécanisme dynamique d’assistance aux victimes de calamités naturelles et de guerre ;
  • Revaloriser la Fonction Publique en améliorant les conditions de vie et de travail des        agents et fonctionnaires de l’Etat.

Education, Recherche scientifique et Technologique
 
 Le développement humain et durable passe obligatoirement par la qualité de l’éducation. De même, pour transformer une société, il faut d’abord changer la mentalité des hommes et des femmes qui l’habitent et cela passe par l’éducation.
Cependant, la crise que traverse la société guinéenne a touché profondément le système éducatif national. La déliquescence des conditions de vie matérielle a fini par lui imprimer un visage insoutenable, dont en particulier :

  • des infrastructures insuffisantes et vétustes, très inégalement réparties sur le territoire national ;
  • la baisse très sensible du taux de scolarisation ;
  • des effectifs pléthoriques d’élèves et d’étudiants par rapport à la capacité d’accueil ;
  • la mauvaise gestion des ressources humaines, matérielles et financières favorisées par l’impunité, l’absence de contrôle et de suivi ;
  • l’insuffisance de contrôle et de l’évaluation pédagogique ;
  • la dévalorisation de la fonction enseignante provoquée surtout par un barème salarial anormalement bas ;
  • la faiblesse de l’intervention de l’Etat au financement de l’éducation ;
  • le manque de programme de formation pour adultes ;
  • l’inadéquation entre la formation et l’emploi ;
  • la problématique des langues d’enseignement ;
  • l’absence de toute politique en faveur de la fille ;
  • la fuite des cerveaux et    la perte de la vocation enseignante.

Le PARTI GUINEEN DU PEUPLE affirme que l’édification de la nouvelle société guinéenne devra reposer par priorité sur des ressources humaines capables de valoriser les énormes potentialités dont dispose le pays. Il en ressort donc que les ressources humaines constituent la vraie richesse et le vrai moteur du développement desquels dépend la mise en valeur des autres ressources.
Le nouveau type d’éducation doit de ce fait, tenir compte de cet impératif qui exige une éducation intégrale, intégrante et permanente.
C’est dans cet ordre didées que le Parti inscrit les axes principaux suivants sur lesquels devra se bâtir le nouveau système éducatif à promouvoir. Il  s’agit de :
l’affirmation de l’éducation comme priorité absolue ;

  • l’organisation d’une éducation pour tous ;
  • la réhabilitation de l’éducation aux valeurs humaines, morales, spirituelles, culturelles, civiques, léducation à la vie et l’éducation citoyenne ;
  • la révision fondamentale des structures et des programmes en mettant l’accent sur les filières professionnelles, techniques et pratiques ;
  • la mobilisation et l’affectation des ressources financières suffisantes à léducation ;
  • la réhabilitation et la construction des infrastructures scolaires, académiques et leur répartition équitables à travers le territoire national ;
  • la prise en compte réelle du partenariat comme mode de gestion essentiel du nouveau système  éducatif ;
  • la valorisation et le renforcement de la fonction enseignante ;
  • la prise en compte des problèmes spécifiques de la femme en matière d’éducation ;
  • l’enseignement spécial formel et non formel et l’alphabétisation fonctionnelle basés sur les besoins réels des bénéficiaires ;
  • l’enseignement des langues et en langues locales et nationales ;
  • le développement de la recherche scientifique et de la technologie, en vue de la     transformation des ressources naturelles et renouvelables.

Santé

  • Mettre en place une politique sanitaire appropriée pour assurer :une médecine préventive dynamique ;
  • une médecine curative efficace par la distribution des soins de santé primaires de qualité et accessibles à tous ;
  • une couverture vaccinale contre les maladies de l’enfance et autres maladies endémiques.   
  • la réhabilitation des infrastructures existantes, d’assainissement et de protection de l’espace vital et la construction des nouveaux hôpitaux et centres de santé ;
  • l’approvisionnement régulier des formations médicales en produits pharmaceutiques et en équipements médicaux modernes ;
  • la promotion et l’encouragement de l’industrie pharmaceutique locale et/ou traditionnelle en vue de subvenir aux besoins en médicaments contre les maladies tropicales ;
  • la promotion et l’encouragement de l’usage par médicaments essentiels conformément à l’initiative de la sous-région ;
  • l’accompagnement des soins de santé par la formation d’un personnel médical et paramédical performant dans les universités, instituts supérieurs et instituts d’enseignement médical ;
  • l’encouragement de l’initiative privée dans la distribution des soins de santé et la production des médicaments ;
  • la mise en place des unités mobiles de traitement sur le fleuve, les îles, les routes, etc.
  • une lutte permanente contre le SIDA et l’assistance aux victimes à faibles revenus de cette pandémie ;
  • la promotion et la mise en œuvre des mutuelles de santé en vue de l’amélioration de l’accessibilité aux soins par tous.

Emploi et sécurité sociale
Le déficit excessif de l’emploi décent en République de Guinée est à la base de plusieurs effets pervers que sont notamment l’inversion des valeurs, la dépendance, l’oisiveté, l’irresponsabilité,  le parasitisme, la corruption, la démotivation, lesquels sont néfastes à la production, aux revenus et à une vie sociale harmonieuse. Face à cette situation préoccupante, le Parti prône :

  • la lutte contre le chômage comme l’une des priorités socio-économiques ;
  • la promotion des actions de création intensive d’emplois décents ;
  • la promotion d’une politique salariale réaliste, garantissant la dignité du travailleur ;
  • la promotion de l’éthique professionnelle pour lutter contre les antivaleurs qui asphyxient les milieux du travail et de production en général ;
  • le développement de la sécurité sociale et de la prévoyance mutualiste permettant l’accès à des pensions de retraite dignes ainsi que la couverture des principaux risques sociaux ;
  • le renforcement du dialogue social avec les organisations professionnelles favorisant la paix sociale ;
  • la capitalisation et l’accompagnement du secteur informel étant donné sa grande capacité génératrice d’auto-emplois ;
  • la prise des mesures incitatives en faveur des entreprises, particulièrement celles à haute intensité de main d’œuvres ;
  • la promotion des dispositions légales et .réglementaires garantissant équitablement les intérêts des employeurs et des travailleurs ;
  • le renforcement de la formation professionnelle en vue de faciliter aux jeunes l’accès et la conservation de l’emploi ainsi que le reclassement et le renforcement des capacités des travailleurs en général.

Agriculture et Elevage

L’agriculture et l’élevage sont des piliers de l’économie guinéenne. 80 à 90% de notre population vivent des produits de l’agriculture et des produits de la campagne en général.
Les potentialités guinéennes dans ce domaine sont les plus importantes, assorties de grandes ressources en eau. En 1985 , les terres cultivables étaient estimées à 7.440.000 ha dont moins de 12% seulement étaient exploitées.
L’agriculture est pratiquée dans toutes les quatre régions naturelles.
En ce qui concerne l’élevage, notons qu’en 1955 il n’y avait que 1.200.000 bovins, 600.000 ovins et 200.000 caprins.
Mais ici, il nous paraît important de faire une mise au point essentielle. Nous avons noté que la Guinée a payé cher le prix de son choix pour l’indépendance. Ceux qui ne pouvaient pas apprécié  cette option n’ont pas pardonné le recul que ce choix a imposé à leurs affaires. Ceux- là ont voulu que tout se passe au pays du 28 septembre 1958 dans la misère et la pauvreté généralisées et non dans l’opulence comme il fallait le dire.
Les mesures consécutives à cette colère ont amené à un blocage économique certain et connu. Comme il fallait nourrir la ville et ses fonctionnaires et que l’Etat manquait des devises pour tout importer la nourriture de base, il s’est tourné vers la campagne ; la mère de tout le monde. Cela explique la demande explicative qui a conduit aux normes. Il n’y a pas d’autre choix à un moment donné pour entretenir l’administration, la diplomatie, les constructions et nourrir les travailleurs urbains. Mais entendre, là aussi les gens bien placés se sont livrés à des excès intolérables et le peuple a souffert plus que ce qui aurait pu se passer dans les conditions normales.
Les programmes doivent être entrepris en rapport avec les investissements étrangers pour assister réellement le cultivateur et de plusieurs manières pour parvenir à une vraie croissance de l’agriculture d’où l’urgence :

  • De multiplier les centres de santé primaire dans les villages pour avoir dans nos activités productives rurales des hommes sains, réellement capables de bien produire ;
  • Les éleveurs doivent être soutenus par des efforts financiers de l’Etat ;
  • L’agriculture doit permettre aux agriculteurs d’accéder à la modernisation et à un aménagement légalement progressif dans les régions de plaines ;
  • La formation au niveau préfectoral des structures d’appui à l’agriculture ;
  • La construction d’unités productrices d’engrais ;
  • Le renforcement des capacités des services de l’agriculture au niveau préfectoral.

PLAN SECURITAIRE ET SYSTEME DE DEFENSE

Pour l’attachement à la paix, la position stratégique de la République de Guinée en Afrique de l’ouest, entourée de six pays voisins et disposant de frontières naturelles et artificielles perméables, requiert, pour sa sécurité et sa stabilité, l’existence d’une armée, d’une police et des services de sécurité qui garantissent sa souveraineté, son intégrité et l’ordre public. .
Ainsi le PGP opte pour :

  • Une armée républicaine et forte ;
  • Une police de proximité chargée du maintien de l’ordre public et de la sécurité des personnes et des biens ;
  • Des services spécialisés et d’intelligence réellement respectueux de l’Etat de droit et des institutions démocratiques.

L’ARMEE 
Recrutement et formation

  • Le recrutement doit se faire en dehors de toute discrimination sur l’ensemble du territoire national en privilégiant le volontariat, le patriotisme, la majorité d’âge, les qualités physiques, morales et intellectuelles ;
  • La réhabilitation et la mise en place des centres de formation et des académies militaires pour le commandement, l’administration, le génie, la recherche, les opérations tactiques et les techniques de combat, en vue de doter notre pays d’une armée professionnelle.

Organisation et équipement

  • adapter la carte militaire héritée de la colonisation aux réalités actuelles de notre pays, de l’Afrique et du monde ;
  • réhabiliter et construire des camps militaires et des résidences des officiers pour le casernement des éléments combattants en vue d’assurer un meilleur encadrement des troupes ;
  • faire de l’armée, outre sa mission traditionnelle, une armée de développement et de production ;
  • doter l’armée des équipements modernes de défense, de transport et de télécommunications en vue d’augmenter sa capacité de mobilité et d’intervention pour une meilleure défense nationale.

POLICE NATIONALE
 
Recrutement et formation

  • En plus des conditions retenues pour le recrutement dans l’armée, les éléments de la Police Nationale doivent recevoir une formation qui leur permette de remplir valablement la mission de maintenir l’ordre public et de protéger les personnes et leurs biens ;
  • Réhabiliter et créer des centres et instituts de formation.

Organisation et équipement
 Mettre en place une police de proximité et revaloriser les branches spécialisées telles que :

  • la police de protection civile, notamment la police anti incendie ;
  • la police anti-drogue ;
  • la police anti-émeutes ;
  • la police des mœurs, etc.
  • Doter la police des équipements modernes et adéquats.

SERVICES SPECIALISES ET D’INTELLIGENCE

  • Les Services spécialisés et d’intelligence civile et militaire devront être séparés et déployés des missions traditionnelles de police et de justice pour être concentrés sur les analyses prospectives et de contre-espionnage susceptibles de garantir à notre pays et à nos institutions, sécurité et paix ;
  • Le recrutement au sein de ces services, en dehors de toute discrimination devra répondre aux critères de patriotisme, de capacité, d’efficacité, d’efficience et de performance ;
  • L’équipement à mettre à leur disposition doit être conséquent au regard des missions dévolues.

Transports, Communications et Télécommunications

  • la réhabilitation et la construction des infrastructures de communications routière, fluviale, ferroviaire, lacustre, aérienne et de télécommunication ;
  • lexploitation des voies naturelles de communication que sont : le fleuve, les rivières, les îles pour les relier aux routes, voies ferrées et aéroports en vue de couvrir progressivement le territoire national ;
  • la modernisation de l’outil de travail de lentreprise publique chargée des Postes et Télécommunications, et la libéralisation de ce secteur en vue d’attirer des investissements nouveaux de manière à couvrir l’ensemble du territoire national;
  • l’augmentation de la capacité des transports urbains et inter-urbains par une politique ;
  • la construction des métros et la mise en circulation des tramways ;
  • le renforcement de la capacité des sociétés ferroviaires ;
  • le rapprochement des services publics et des centres commerciaux des sites d’habitation.

SECTEUR ENERGETIQUE ET MINIER

En comparaison avec les pays africains disposant d’un potentiel similaire, le tissu industriel est encore très faible. Cette faiblesse est évidente lorsqu’on examine la contribution du secteur privé au PIB à l’emploi et à l’investissement.
De ce fait, l’économie guinéenne reste une économie à faible valeur ajoutée avec une très faible capacité de transformer l’important potentiel des ressources naturelles, minières, agricoles et halieutiques du pays.
En Guinée, les grandes entreprises c’est-à-dire selon la nomenclature adoptée par le gouvernement, celle ayant un volume d’investissement supérieur à 500 millions de francs guinéens relèvent généralement du capital étranger et elles sont dirigées par les expatriés. On les trouve surtout dans les secteurs minier et pétrolier ainsi que quelques industries à transformation à investissement lourd : la cimenterie, le secteur agricole alimentaire (brasserie-tabac), la grande distribution et les services d’assurance, banques, transports internationaux, la production des biens d’équipements électriques (moteurs, machines) sont pratiquement inexistante.
Généralement les investissements nécessaires à la création d’entreprise de grande envergure ne se réalisent que s’il existe un environnement fiscal, législatif et réglementaire favorable et incitatif pour leur exploitation ou pour l’importation  dans un contexte national et parfois régional de sécurité. Certes des efforts d’investissement ont été consentis, c’est pourquoi le code minier et le code foncier lèvent certains obstacles à la propriété privée aux transferts de résultats financiers. Mais d’autres conditions comme la sécurité, la transparence et un système judiciaire plus indépendant reste encore largement à créer afin d’attirer les capitaux privés susceptibles de mettre en place des grandes entreprises industrielles.
Le PARTI GUINEEN DU PEUPLE mettra ces systèmes et structures fiables en vue de relancer l’économie guinéenne à partir des investissements de nos ressources du sous-sol, tout en libéralisant le secteur de production de lénergie hydroélectrique par son ouverture aux microsociétés privées et aux sociétés d’économie mixte de manière à combler le déficit du pays en matière énergétique .

 

 

 

LA JUSTICE

Un plan de sauvetage de la justice doit être élaboré de façon correcte pour respecter les droits des citoyens. Aujourd’hui le constat fait apparaître les insuffisances suivantes :
  •   Insuffisance de formation des magistrats ;
  •   Inadéquation de la justice aux réalités de l’environnement juridique, économique et politique internationale ;
  •   Corruption et l’impunité ;
  •   Mauvaises décisions des juridictions ;
  •   Interférence des autorités administratives dans les procédures judiciaires ;
  •   Violation des textes par les magistrats ;
  •   Non protection des magistrats ;
  •   Inapplication du statut des magistrats.

Ces constats actuels ont littéralement transformé les juridictions en tribunaux où les magistrats qui y siègent sont devenus des artisans de droit. Or la justice est le pilier essentiel de tout régime démocratique. Par son contenu et ses structures, la justice constitue une institution qui garantit les libertés individuelles et collectives.
Elle est la source de légalité capable de condamner l’Etat qui viole les droits. Elle est l’élément incitateur des bailleurs de fonds qui cherchent à protéger leurs investissements.

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